L’artiste et photographe montréalais Paul-Emile Rioux fait de la création numérique depuis plus de 15 ans. À travers son métier de photographe, il a développé un intérêt particulier pour l’iconographie présente dans l’environnement urbain et les produits de consommation .
Les collections Cola, Campbell, Tide et Heinz issu de Pixel-Icon-Idiom abordent l’univers des codes graphiques en créant de nouvelles morphologies puissamment stimulées par la lumière, la couleur et les textures.
Récemment il présentait le projet Landcuts avec comme premier volet la collection The City. Rioux marie l’art de la photographie aux outils numériques procéduraux qu’il découvre.
En 2017 Paul-Émile Rioux présentait à la galerie « le Vent se Lève » des images vidéo et des images fixes grands formats, extraites de sa série « Turquoise par défaut ».
Dans cette série, chaque œuvre se compose de trois couches, distinctes et pourtant interdépendantes. Les couches supérieures, représentant peut-être le ciel, se déplacent lentement. Les couches intermédiaires, représentant peut-être l’océan, se déplacent rapidement. Les couches inférieures, représentant peut-être un monde submergé, se transforment, tout en se dévoilant partiellement sous une surface fluide.
Dans cette série, chaque œuvre se compose de trois couches, distinctes et pourtant interdépendantes. Les couches supérieures, représentant peut-être le ciel, se déplacent lentement. Les couches intermédiaires, représentant peut-être l’océan, se déplacent rapidement. Les couches inférieures, représentant peut-être un monde submergé, se transforment, tout en se dévoilant partiellement sous une surface fluide.
Site internet:
Série turquoise: